Lorsque nous accompagnons des managers, nous avons dorénavant décidé de leur proposer la lecture de témoignages. Ces livres relatent la façon dont certaines entreprises ont décidé de s’organiser différemment des modèles classiques et traditionnels qui sont en place partout, des plus grandes multinationales aux PME, voire encore souvent aux startups. Nous proposons donc ces livres car nous croyons qu’il est possible d’allier excellence des opérations, profitabilité, développement, responsabilisation et bien-être de tous les collaborateurs. Et ces livres touchent, chacun de leur manière, ces sujets.
Lors de la réunion du 20 octobre 2017 du Club HOW (pour Human Organization of Work), think tank qui a pour vocation de remettre les femmes et les hommes au cœur de l’entreprise, nous avons pu rencontrer Michel Hervé, dirigeant du Groupe HERVE.
Michel Hervé, est un entrepreneur, un homme politique et un philanthrope. Sa vision de la société et du management des entreprises est à la fois innovant, humaniste et réaliste car fondé sur 30 ans d’expériences réussies en tant que dirigeant d’entreprises et d’organisations publiques et para-publiques.
Petite histoire d’un entretien annuel
Faites-vous encore les fameux Entretiens Annuels d’Evaluation ? En effet, même s’ils ne sont pas obligatoires, les « EAE » sont devenus une pratique courante.
L’Entretien Professionnel est lui obligatoire, et a pour objectif de définir les possibilités d’évolution du salarié et les formations à mettre en place pour accompagner sa carrière. Il doit avoir lieu au moins tous les deux ans.
Mais sont-ils adaptés à la réalité des entreprises agiles d’aujourd’hui ? Peut-on faire mieux ?
Contrairement à ce que disait Coluche dans son sketch sur les sportifs, l’esprit d’équipe n’est pas un esprit partagé entre tous les membres l’équipe mais plutôt l’opposé : l’action de coopérer qui permet de catalyser et de décupler les esprits et donc les résultats individuels. Voici un post qui met en lumière les raisons pour lesquelles il est devenu indispensable de favoriser l’intelligence collective aujourd’hui et les principales techniques de coaching d’équipe utilisées.
J’ai rarement vu de manager qui ne savait pas manager.
J’ai évidemment rencontré des managers perdus, parce qu’ils ne savaient plus ou donner de la tête. Mais une fois installés autour d’une table pour faire le point ils ont toujours su me dire ce qu’ils devraient ou auraient dû faire et dire.
L’enjeu de la fonction de management n’est pas la théorie, mais la pratique. Les managers qui ne dirigent pas ne le font pas parce que, je crois, ils n’osent pas communiquer, parler, c’est-à-dire s’exposer.
Lire la suite
Ce post est dédié à Benoit et Christophe: Puissiez-vous ne jamais perdre de vue l’horizon!
La perfection n’est pas de ce monde. Seul le médecin légiste peut connaitre la vérité; mais il est alors trop tard…
Dans le contexte de leurs activités professionnelles -oui, être en transition est une activité professionnelle- j’encourage ceux que j’accompagne à ne surtout rien faire à 100%. Je crois que chacun atteint complètement ses objectifs lorsqu’il/elle a fini 80% de chacune de ses tâches.
Je ne vais pas faire l’éloge du travail à moitié fait; je vais parler d’efficacité et de maitrise de son travail. C’est selon moi une question de retour sur investissement, de gestion de son temps et de travail d’équipe, voir de vie en communauté.
Lire la suite
Bon, cela passait peut-être mieux avec l’accent marseillais…
Avec l’expérience, je pense en fait que cela s’applique à tout ceux d’entre nous qui doivent piloter une équipe et un P&L.
Lire la suite
Tirons-en une règle de communication qui pourrait se résumer ainsi: « si vous voulez être entendus, répétez vous »… « managers, saisissez l’opportunité de répéter vos messages (peu nombreux) chaque fois que vous en avez l’occasion ».
Lire la suite
Cette réflexion entendue à plusieurs reprises me fait réfléchir…
Lire la suite
Mais je pense vraiment que:
– l’improvisation ne saurait garantir la performance,
– la seule certitude que l’amateurisme apporte c’est de ne pas être le meilleur.
Il ne faut pas se cacher derrière une mauvaise compréhension de la maxime de Coubertin. L’essentiel c’est de participer … quand on est aux Jeux Olympiques! Pour arriver aux jeux il faut d’abord travailler comme un malade. Travailler comme un malade veut surtout dire s’entrainer à pratiquer sans cesse les même mouvements optimisés face à certaines situations.
Lire la suite