I’m picking up good vibrations…

I’m picking up good vibrations…

Il y a ceux qui ne peuvent pas travailler sans avoir bu leur expresso, ceux qui ont besoin de sortir marcher a l’air frais pendant 2 minutes toutes les heures… et les amoureux qui se nourrissent uniquement d’amour et d’eau fraiche. Notre organisme fonctionne à grand coup de réactions chimiques. Nous pouvons en influencer les équilibres par la façon dont nous vivons, par ce que nous ingérons, entre autres. De ce fait il découle que nous pouvons influencer notre activité: performance, fluidité, résultats…

Je ne vais pas écrire sur les substances que vous devez avaler, je vais me contenter de parler de comportemental.
En constatant d’abord que tout stress n’est pas bon. Le stress ‘de survie’ déclenche la production d’adrénaline et permet à votre corps de performer, maintenant, de façon maximale, et de se préoccuper des conséquences plus tard. Le ‘bon stress’ fait que vous produisez des endorphines, et celles-ci facilitent la plupart des transmissions dans votre corps: vous métabolisez mieux, vous vous inscrivez dans un bon fonctionnement sur le moyen terme. Pour nos contextes de travail il me semble évident que le second est plus à rechercher que le premier.
Comment peut-on créer le contexte du bon stress au travail?

En créant les bonnes vibrations.
Si le terme ‘bonnes vibrations’ ne vous convient pas, préférez lui ‘bonnes conditions de travail’. Comprenez en tout cas que je veux parler de ces circonstances qui vous rendent productif, qui vous mettent en zone de confort, qui vous rassure sur votre capacité à faire, et surtout à bien faire!

Cela peut touche beaucoup de choses: nombreuses sont les sources de stimuli positifs. Mais toujours est-il que le consensus est là: on bosse mieux, lorsque l’on est heureux. Et pour se mettre dans les bonnes conditions, maitrisez les éléments. Si en effet vous contrôlez les outils employés (de la méthode aux instruments de travail) ou les les lieux dans lesquels vous effectuez vos activités (chez vous dans une pièce dédiée par exemple), il ne tient qu’à vous que tout se passe bien. De même il est important de travailler sa préparation. Il faut se sentir en maitrise de son sujet avant de se lancer: inutile d’appeler un contact si vous n’avez pas préparé les questions auxquelles vous souhaitez qu’il/elle vous réponde…
En combinant toutes ces données élémentaires, en ne négligeant rien, en ne vous précipitant pas, vous contrôlez les combinaisons de circonstances qui vous placent dans une situation favorable. Vous sentant au mieux, vous donnerez le meilleur de vous-même!

Et en choisissant vos combats pour ne pas passer votre temps à vous battre contre les mauvaises vibrations. Certains jours débutent moins bien, certaines conditions ne sont pas réunies, malgré l’usage des routines et méthodes qui facilitent la vie (cf ‘l’éloge de la routine’). Il faut savoir le reconnaître et l’accepter, il ne sert à rien de pester, ni de s’évertuer à continuer d’affronter les ‘mauvaises vibrations’. Il est parfois nécessaire de ne pas chercher la solution par soi-même; mais d’obtenir le soutien des autres. Un petit conseil plein de bon sens, un échange de ‘trucs’, une discussion qui montre que l’on n’est pas seul dans son cas… autant d’interactions qui peuvent vous débloquer et vous permettre de repartir au combat!

Voici une recommandation de plus pour ne pas accepter la solitude du chercheur d’emploi, ni celle du manager. Même en situation d’effort et de travail individuels, il faut pouvoir ne pas être seul. Le loup est un animal solitaire, mais il chasse en meute.
C’est le rôle que l’on attribue au mentor et c’est l’effet des groupes de travail.

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